On veut tous intégrer le “Burrata Gang” d’Aya Nakamura

On veut tous intégrer le “Burrata Gang” d’Aya Nakamura

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Par Konbini Food

Publié le

Sur Instagram, elle a dévoilé l'existence d'un mystérieux club d'amateurs de burrata. Voici comment l'intégrer (ou presque).

Si l’engouement quelque peu controversé autour de la burrata, spécialité fromagère venue des Pouilles (Italie), est une réalité depuis plusieurs années, il est désormais clair et évident que le plat a fait l’objet d’une incroyable attention durant tout l’été.

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Présent à la carte d’innombrables restaurants italiens, ce fromage à la coquille ferme, reconnaissable à sa douceur, sa fraîcheur et à son cœur aussi crémeux que coulant, n’a pas échappé à Aya Nakamura qui a dévoilé, dans une story postée sur Instagram et repérée par les petits génies de Pop-up urbain, l’existence d’un mystérieux “Burrata Gang”.

(© Aya Nakamura via Instagram)

Pour l’heure, difficile de savoir comment l’intégrer. Difficile, aussi, de savoir si ce gang existe vraiment, au-delà de cette story Instagram. Dans le doute, la rédaction de Konbini food a quand même réfléchi à quelques pistes qui vous permettront de mettre toutes les chances de votre côté. Voici donc une liste des lieux (restaurants, crémeries, fromagers…) où déguster des burratas qui valent le détour dans la capitale.

Commençons par les fabriques et crémeries, notamment Ottanta, qui fabrique des mozzarellas et burratas bio à partir du lait de vaches élevées en Île-de-France. Autre piste : Nanina, épicerie-atelier qui produit de véritables burratas à partir de lait de bufflonnes élevées en Ardèche, dans le sud de la France. On pense également à la Cooperativa Latte Cisternino, qui dispose de plusieurs antennes dans la capitale, ou encore à La Maison de la mozzarella.

Si vous préférez préparer votre entrée dans le gang attablé, c’est également possible. Parmi les mille et uns restaurants proposant de la burrata à leur carte, voici quelques incontournables. D’abord, notre chouchou et table de poche, Mulino Mulè, puis la table du chef Lorenzo Sciabica, Pastore, ou encore la Retro Bottega, cave à manger italienne, située dans le quartier de Bastille. Mais aussi : Tempilenti, l’Osteria Ferrara, le Caffè Stern, qui les sert en folles ravioles ou le Racines de Simone Tondo qui, lui, les propose, selon l’humeur du moment, avec une saucisse au fenouil ou autres carottes rôties. Encore faim ? Prévoyez un détour par l’épicerie RAP ou par le comptoir à sandwiches crémeux de Mmmozza,