Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial Top Chef épisode 4

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial Top Chef épisode 4

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Par Konbini Food

Publié le

Au programme : pâtes, cassoulet du XXIe siècle et une assiette digne d'une scène de crime

Fini la rigolade, Top Chef, c’est maintenant. Après s’être échauffé·e·s avec les épreuves de qualification, puis des manches avec Frédéric Anton et le plus grand d’entre nous tous, Pierre Gagnaire, les candidat·e·s du concours ont eu à se frotter à Annie Féolde, cheffe triplement étoilée en Italie depuis des décennies, et à l’un des monuments de la gastronomie du Sud-Ouest, le cassoulet, en présence de fiers représentants de la région toulousaine : Maxime Médard et Yoann Huget du Stade toulousain, et les rappeurs Bigflo et Oli. Mais pas que. Séance de rattrapage dans 1… 2… 3…

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Première épreuve : pâtes et tiramisu

Chaque brigade se lance dans la confection de pâtes différentes. Agnolotti, ravioles, tajarin du Piémont… Sur le plateau, le niveau est élevé, notamment du côté d’Alexia qui a fait ses armes chez le chef Giovanni Passerini. Du côté des téléspectateur·rice·s, c’est une autre histoire.

Et on passe au sucré, non sans quelques allusions graveleuses.

De la crème de marrons dans le tiramisu. Hum.

Deuxième épreuve : le cassoulet

L’émission se délocalise à Toulouse pour y revisiter l’un des plats emblématiques de la région : le cassoulet. Mais Michel Sarran est clair : l’objectif est aujourd’hui d’en proposer une version revisitée, plus légère, plus moderne : le “cassoulet du XXIe siècle”. Avant que l’épreuve débute, le chef étoilé gersois disserte sur le plat et sa symbolique, et présente sa version du cassoulet réinventé : le cassoulight (oui, vous avez bien lu).

Mais sa version ne plaît pas à tous…

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Place aux candidats, désormais.

Et les téléspectateur·rice·s n’ont pas épargné le jury.

Dernière chance

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À la semaine prochaine !