Cinq clés pour tout comprendre à la Coupe du monde de la chocolatine

Cinq clés pour tout comprendre à la Coupe du monde de la chocolatine

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Par Robin Panfili

Publié le

Elle a (évidemment) lieu à Toulouse et, à la surprise générale, le pain au chocolat sera lui aussi représenté.

Après des décennies de débats et de polémiques, la chocolatine a enfin sa Coupe du monde. Et, comme on pouvait l’imaginer, elle aura lieu dans son fief historique, Toulouse. C’est bien plus qu’une simple compétition culinaire et Club Sandwich vous livre aujourd’hui les cinq clés de ce concours pas comme les autres.

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#1. Professionnels et amateurs

Pour cette première édition, les candidats seront répartis en trois catégories. Les touriers – du nom de ceux qui fabriquent la célèbre viennoiserie – professionnels (20 candidats), les apprentis (15 candidats) et les amateurs (6 candidats), dont le chef de cuisine de l’ambassade de France d’Iran.

#2. Technique et imagination

Les règles sont simples : les candidats pros et apprentis devront réaliser douze chocolatines classiques et douze chocolatines revisitées. Les amateurs, eux, devront simplement présenter douze chocolatines revisitées. Ils seront jugés sur leur originalité, leur technique et leur créativité, rapporte Actu Toulouse.

Le pain au chocolat de chez Mamiche. (© Serial Patissteur)

#3. Le “pain au chocolat” accepté

C’est la question qui vous brûlait les lèvres. Oui, les pains au chocolat seront représentés dans le concours. Et afin d’éviter que le jury soit influencé par telle ou telle appellation, les viennoiseries seront dégustées à l’aveugle. En clair, rien ne dit qu’un pain au chocolat ne sera pas nommé vainqueur de la Coupe du monde de… chocolatine.

#4. Jury sur mesure

Deux jurys officieront lors de la compétition : un jury technique et un jury de dégustation. On y retrouvera des MOF (Jean-Luc Beauhaire), des artisans boulangers-pâtissiers (Gaëtan Cossoul Le Bellis et Marc Galigné), mais également des chefs (Veruska Pochon et Ludovic Mallac), des sportifs (Olivier Carbonneau)…

© Getty Images

#5. Un hymne

À chaque concours culinaire son hymne. Celui de la Coupe du monde de chocolatine sera composé par Jean-Luc Davezac et la mascotte réalisée par les élèves d’un lycée de la ville. “Nous défendons le savoir-faire mais aussi l’identité d’une région à travers ses appellations”, a expliqué Géraldine Laborde, présidente de la Ligue fraternelle des artisans.