Au Japon, il existe un musée entièrement consacré au ramen

Au Japon, il existe un musée entièrement consacré au ramen

photo de profil

Par Sirine Azouaoui

Publié le

Les Japonais ont dédié une espèce de parc d’attractions à la fameuse soupe de nouilles.

À voir aussi sur Konbini

Le ramen, c’est un peu une religion au Japon. C’est le plat que l’on peut trouver partout dans les restos et les petites échoppes. C’est aussi le plat que les Japonais mangent en fin de soirée pour se revigorer. Depuis quelque temps, la passion pour cette soupe de nouilles a dépassé les frontières de l’île. Japonais et touristes se retrouvent dans un musée, temple du ramen, au sud de Tokyo.

Le Shin-Yokohama Ramen Museum regroupe tout ce qu’il faut pour déclarer son amour à la soupe de nouilles. Dès l’entrée, la première attraction adorée d’Instagram, c’est un bol animé de nouilles. Un grand magasin vend différents bols, marmites, nouilles… Tout pour fabriquer son ramen à la maison. Sur les murs, on raconte l’histoire de ce plat et notamment des petites échoppes qui le fabriquent. On peut aussi se faire prendre en photo en habit de chef cuisinier devant un fond vert puis choisir sa photo de ramen à intégrer derrière.

Neuf restaurants où déguster des ramen

Mais la partie la plus intéressante reste celle où on mange. Le musée est une sorte de parc d’attractions du ramen, donc au lieu de faire la queue pour un manège, on fait la queue pour siroter sa soupe. Le tout dans une reconstitution d’un quartier historique de Tokyo en 1958, l’année où le ramen, venu de Chine, est devenu la star des repas japonais. On peut ainsi se balader dans ses ruelles étroites, autour des vieux bâtiments et admirer un faux ciel.

Pour le ramen, il faudra choisir entre les neuf restaurants qui proposent autant de versions régionales différentes. Chaque coin du Japon a en effet sa manière de faire le ramen, avec différents bouillons, garnitures, viandes ou nouilles plus ou moins fines. Le musée propose même des mini-ramen, pour goûter à tout.

Une publication partagée par (@tomoyoshi.h38) le

Une publication partagée par (@k.ess.elle) le